• Louis le Galoup, T.4 : La Cité de Pierre, Jean-Luc Marcastel

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    Résumé :

     

    On raconte qu'au fil de la Vézère, dans quelque méandre abrite du regard, s'élèvent de hautes falaises de pierre blanche que la lune, en son plein, se plaît à caresser. Là, agrippée aux rocs pâles, dominant la rivière au cours tranquille, se dresserait la plus étonnante et imprenable des forteresses. On dit aussi que dans ce nid d'aigle creusé à même la roche, dans cette cité verticale, les partisans du jeune Roy auraient répondu à l'appel du Galoup Blanc pour secouer le joug du tyran et de ses deux barons maléfiques. C'est ce havre légendaire que Louis et ses compagnons, traqués et poursuivis, tentent d'atteindre envers et contre tout... Mais pour leur salut ou leur perdition ? Car dans son donjon de Tolosa, telle une araignée patiente et retorse, le noir Vicomte tisse sa toile malfaisante...

     

    Mon avis :

     

    Aaaaahhhh... Louis le Galoup. Rarement j'ai aimé un cycle comme celui-là, même si j'ai passé l'âge du public visé. J'avais laissé passer du temps entre mes lectures, comme un paquet de bonbons qu'on s'astreint à ne pas manger dans la semaine, juste pour faire durer le plaisir. 

    Je n'ai eu aucun problème pour revenir dans l'histoire, c'était comme évidence.

     

    Alors bien sûr, les révélations de ce tome n'ont pas été un surprise pour moi. Et oui, je me doutais plus ou moins du déroulement de l'histoire. Mais qu'importe.

    J'ai retrouvé la plume de Jean-Luc Marcastel, sa manière de nous conter cette histoire, avec détails, avec vie, comme un conteur le faisait des siècles auparavent, offrant ainsi frissons, émerveillement et ouverture sur le monde.

     

    Et puis, on arrive au quatrième tome, donc les choses se précipitent un peu, les confrontations se font plus violentes, plus prenantes, et on assiste, le souffle coupé, à une bataille comme je n'en avais jamais lu.

    Et toujours, cette émotion à vif, palpable, surtout lors des dernières pages. Difficile, alors, de résister et de ne pas se ruer sur le tome 5.

     

    C'est une chronique très courte, parce que quand j'aime réellement un roman, j'ai du mal à développer pour expliquer pourquoi j'ai tant aimé. En fait, la seule chose que j'ai envie de vous dire, c'est : allez-y, prenez le premier tome et découvrez cette plume extraordinaire !

     

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